Penser à sa santé mentale, lorsqu’on souffre d’une maladie grave ou chronique, n’est pas forcément une priorité. Pourtant, quand le corps trinque, les émotions liées à la maladie impactent l’esprit.
Penser à sa santé mentale, lorsqu’on souffre d’une maladie grave ou chronique, n’est pas forcément une priorité. Pourtant, quand le corps trinque, les émotions liées à la maladie impactent l’esprit.
Les nuits blanches, le moral en berne, la perte de confiance, l’agressivité ou la dépendance sont des signaux d’alerte: il est temps d’offrir à votre santé mentale toute l’attention qu’elle mérite. Si pour certains, quelques séances de yoga ou une balade en forêt suffisent à faire baisser la pression, d’autres ont tout intérêt à entreprendre une thérapie auprès d’un(e) psy. Combien de temps? Le temps qu’il faudra pour aller mieux!
Un professionnel de la santé équipé pour vous aider
Parler de sa maladie, des inquiétudes, des frustrations, de la colère et des autres émotions qu’elle génère, cela fait du bien. Mais se décharger auprès de ses proches reste délicat quand on n’a envie ni de les inquiéter, ni de les froisser et qu’on espère faire «bonne figure». Parler à un(e) psychologue, c’est tout autre chose. Il/Elle dispose d’outils thérapeutiques pour vous aider à gérer ces émotions et mieux vivre votre maladie, sans porter aucun jugement.
Un(e) psy dispose d’outils thérapeutiques pour vous aider à gérer ces émotions et mieux vivre votre maladie, sans porter aucun jugement.
Un effet sur la douleur
La tristesse vous noue la gorge, l’angoisse vous serre le ventre… Ce n’est pas un hasard si ces expressions associent émotion et sensation physique désagréables. Saviez-vous qu’une thérapie a des effets positifs sur la gestion de la douleur physique? Vous détendre (par des exercices de respiration ou d’hypnose, par exemple) peut en effet contribuer à diminuer l’intensité de vos crises, voire les espacer. Des psychologues cliniciens spécialisés dans la douleur chronique vous y aideront!
Du temps et de l’argent ?
Ne laissez pas le manque de temps ou d’argent vous freiner. Une thérapie s’adapte à vos besoins. Pas de souci si vous souhaitez la mettre en pause, par exemple lorsque vos examens médicaux vous accaparent. Vous restez aux commandes! Quant à l’aspect financier, renseignez-vous auprès de votre mutuelle. La plupart offrent un remboursement à raison de 8 séances par an, voire plus. Qui plus est, si vous êtes suivi(e) par un(e) psychologue de première ligne, vous ne débourserez que 11 euros par séance (ou 4 euros si vous êtes BIM). N’hésitez donc pas, et donnez-vous les moyens d’aller mieux!
Les nuits blanches, le moral en berne, la perte de confiance, l’agressivité ou la dépendance sont des signaux d’alerte: il est temps d’offrir à votre santé mentale toute l’attention qu’elle mérite. Si pour certains, quelques séances de yoga ou une balade en forêt suffisent à faire baisser la pression, d’autres ont tout intérêt à entreprendre une thérapie auprès d’un(e) psy. Combien de temps? Le temps qu’il faudra pour aller mieux!
Un professionnel de la santé équipé pour vous aider
Parler de sa maladie, des inquiétudes, des frustrations, de la colère et des autres émotions qu’elle génère, cela fait du bien. Mais se décharger auprès de ses proches reste délicat quand on n’a envie ni de les inquiéter, ni de les froisser et qu’on espère faire «bonne figure». Parler à un(e) psychologue, c’est tout autre chose. Il/Elle dispose d’outils thérapeutiques pour vous aider à gérer ces émotions et mieux vivre votre maladie, sans porter aucun jugement.
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La tristesse vous noue la gorge, l’angoisse vous serre le ventre… Ce n’est pas un hasard si ces expressions associent émotion et sensation physique désagréables. Saviez-vous qu’une thérapie a des effets positifs sur la gestion de la douleur physique? Vous détendre (par des exercices de respiration ou d’hypnose, par exemple) peut en effet contribuer à diminuer l’intensité de vos crises, voire les espacer. Des psychologues cliniciens spécialisés dans la douleur chronique vous y aideront!
Du temps et de l’argent ?
Ne laissez pas le manque de temps ou d’argent vous freiner. Une thérapie s’adapte à vos besoins. Pas de souci si vous souhaitez la mettre en pause, par exemple lorsque vos examens médicaux vous accaparent. Vous restez aux commandes! Quant à l’aspect financier, renseignez-vous auprès de votre mutuelle. La plupart offrent un remboursement à raison de 8 séances par an, voire plus. Qui plus est, si vous êtes suivi(e) par un(e) psychologue de première ligne, vous ne débourserez que 11 euros par séance (ou 4 euros si vous êtes BIM). N’hésitez donc pas, et donnez-vous les moyens d’aller mieux!
Dernière mise à jour le 10/08/2023
© APB 2024 Editeur Responsable: Nicolas Echement
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